Qualité & management
Travailler la culture du risque
Comment ne pas être touché de la forte participation avec un millier de professionnels du prendre soin mobilisés pour la 12eme édition de notre colloque annuel Agevillagepro/Humanitude sur les approches non-médicamenteuses ?
Comment ne pas être secoué par ces inteventions engagées, émouvantes et vibrantes ?
Du numérique en santé, aux établissements d'acceuil, aux plateformes de soutien de l'autonomie aux domiciles... les professionnels se mobilisent... malgré tout.
Malgré les tensions financières (sur les budgets des structures et des ménages - voir l'étude de la CNSA sur les tarifs en Ehpad), malgré les difficultés de recrutement, malgré l'Ehpad bashing, malgré les risques climatiques (comme ce risque de grande crue en région parisienne), malgré la morosité ambiante, ils voient les effet de la démogaphie, de la longévité et innovent.
Ils inventent des territoires Zéro chomeur de longue durée, ils fêtent comme Isatis leurs 30 ans d'innovation au service de la gérontologie.
Ils travaillent la culture du risque, inhérent à la vie. Parce que le risque zéro n'existe pas, ils le regardent, l'analysent, l'admettent et le partagnte avec les personnes fragilisées, avec les proches, dans les supports juridiques, pour mieux s'en prémunir, développer des stratégies de lutte pour les libertés, pour l'égalité, pour la fraternité, les solidarités.
Ils veulent aligner leurs valeurs avec leurs pratiques quotidiennes, comme l'éthique des pratiques chères au Pr Emmanuel Hirsch, qui pointe aussi le risque de ne rien faire, d'abondonner, les personnes fragilisées, les projets, les valeurs.
Et si cette énergie demande des ressource physiques, techniques, financières, elle demande un regard risqué sur l'avancée en âge, un goût du risque affirmé, partagé, compris, outillé.
C'est ce que nous cherchons à faire chaque semaine sur Agevillage et Agevillagepro, chaque année lors de notre colloque annuel : faire réfléchir et outiller les professionnels aux prises directes avec les risques du prendre soin quotidien.
Pour travailler la culture du risque.
Comment ne pas être secoué par ces inteventions engagées, émouvantes et vibrantes ?
Du numérique en santé, aux établissements d'acceuil, aux plateformes de soutien de l'autonomie aux domiciles... les professionnels se mobilisent... malgré tout.
Malgré les tensions financières (sur les budgets des structures et des ménages - voir l'étude de la CNSA sur les tarifs en Ehpad), malgré les difficultés de recrutement, malgré l'Ehpad bashing, malgré les risques climatiques (comme ce risque de grande crue en région parisienne), malgré la morosité ambiante, ils voient les effet de la démogaphie, de la longévité et innovent.
Ils inventent des territoires Zéro chomeur de longue durée, ils fêtent comme Isatis leurs 30 ans d'innovation au service de la gérontologie.
Ils travaillent la culture du risque, inhérent à la vie. Parce que le risque zéro n'existe pas, ils le regardent, l'analysent, l'admettent et le partagnte avec les personnes fragilisées, avec les proches, dans les supports juridiques, pour mieux s'en prémunir, développer des stratégies de lutte pour les libertés, pour l'égalité, pour la fraternité, les solidarités.
Ils veulent aligner leurs valeurs avec leurs pratiques quotidiennes, comme l'éthique des pratiques chères au Pr Emmanuel Hirsch, qui pointe aussi le risque de ne rien faire, d'abondonner, les personnes fragilisées, les projets, les valeurs.
Et si cette énergie demande des ressource physiques, techniques, financières, elle demande un regard risqué sur l'avancée en âge, un goût du risque affirmé, partagé, compris, outillé.
C'est ce que nous cherchons à faire chaque semaine sur Agevillage et Agevillagepro, chaque année lors de notre colloque annuel : faire réfléchir et outiller les professionnels aux prises directes avec les risques du prendre soin quotidien.
Pour travailler la culture du risque.
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