Accompagnements & soins
Les infirmiers souvent seuls au chevet des patients en fin de vie
Alors qu'une proposition de loi visant à reconnaître un droit à "l'aide active à mourir" était soumise au vote du sénat la semaine dernière, l'Ordre national des infirmiers insistait sur "la nécessité d'un débat, dans chaque situation individuelle, sur la question douloureuse et trop souvent occultée de la fin de vie. L'accompagnement des mourants soulèvant des interrogations philosophiques, médicales et juridiques parfois difficiles à concilier. D'autant que "La fin de vie est un sujet éthique complexe, qui dépasse la notion de soins et la seule responsabilité des soignants. Si la formation infirmière prépare les futurs professionnels à ces situations, c'est encore trop souvent, un sujet
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