Accompagnements & soins
Les technologies bientôt dans le quotidien des professionnels
Les technologies de l'information, de la communication, la robotique, la domotique, la e-santé ... entrent petit à petit dans le quotidien des professionnels médico-sociaux.
Qu'il s'agisse de rationnaliser les déplacements, suivre les plannings et les temps d'intervention, mettre à jour les projets de soins... les professionnels disposent aujourd'hui d'outils numériques, tablettes, stylos numériques, sans oublier les robots de compagnie qui pourraient également jouer un rôle auprès des résidents-patients.
La E-santé entraine de nouvelles pratiques : échanges de données, partages d'analyses à distance.
Les professionnels parfois circonspects vont demain intégrer ces technologies à leur quotidien. Ils y seront poussés par leurs structures (sanitaire, sociale ou médico-sociale) mais aussi par leurs clients/patients et leurs proches (déploiement d'internet dans les espaces privés).
Une société savante sur les gérontechnologies (SFTAG) accueille les professionnels qui s'interrogent sur ces évolutions.
Les personnes qui avancent en âge vivent encore la "fracture numérique" mais de nombreuses initiatives travaillent à la résorber (ateliers des associations Old'Up, Esenior, des plus de 800 Cyberbases ou Espaces publics numériques (EPN). La Caisse des Dépôts (actionnaire de référence d'Agevillage.com) accompagne le déploiement d'une information de qualité dédiée aux séniors avec un guide pratique dédié aux collectivités locales.
Même dans les logements à vocation sociale, les technologies s'installent, dans le sens du lien social.
Les débats autour des Trophées du Grand Age 2012 ont montré que les points de vue évoluaient. Les questions éthiques viennent interroger des technologies qui doivent rester complémentaires des relations humaines.
Les modèles économiques restent difficiles à trouver pour solvabiliser ces technologies, ces applications, ces programmes.
Qui paye quoi ? Après les recherches et tests, il faut bien financer le développement des produits.
Qui va financer les mises à jour, les suivis ?
L'utilisateur final, ses proches ? Les collectivités ? les mutuelles ? les assureurs ? Les annonceurs publicitaires ?
Qui va labelliser ces technologies, ces aides-techniques ? Qui va garantir la qualité des informations, des bases de données ?
La CNSA avait mis en ligne une base de référence. Elle est redéployée dans les Centre d'Expertise Nationaux (CEN).
Quant à la Caisse des Dépôts (CDC), elle a planché sur une solution "E Senior" pour la mise à jour des rubriques "senior" des sites Internet des collectivités. Agevillage, dont la CDC est l'actionnaire de référence, est un des acteurs du programme.
L'actualité des technologies, des gérontechnologie n'en est qu'à ses débuts.
Qu'il s'agisse de rationnaliser les déplacements, suivre les plannings et les temps d'intervention, mettre à jour les projets de soins... les professionnels disposent aujourd'hui d'outils numériques, tablettes, stylos numériques, sans oublier les robots de compagnie qui pourraient également jouer un rôle auprès des résidents-patients.
La E-santé entraine de nouvelles pratiques : échanges de données, partages d'analyses à distance.
Les professionnels parfois circonspects vont demain intégrer ces technologies à leur quotidien. Ils y seront poussés par leurs structures (sanitaire, sociale ou médico-sociale) mais aussi par leurs clients/patients et leurs proches (déploiement d'internet dans les espaces privés).
Une société savante sur les gérontechnologies (SFTAG) accueille les professionnels qui s'interrogent sur ces évolutions.
Les personnes qui avancent en âge vivent encore la "fracture numérique" mais de nombreuses initiatives travaillent à la résorber (ateliers des associations Old'Up, Esenior, des plus de 800 Cyberbases ou Espaces publics numériques (EPN). La Caisse des Dépôts (actionnaire de référence d'Agevillage.com) accompagne le déploiement d'une information de qualité dédiée aux séniors avec un guide pratique dédié aux collectivités locales.
Même dans les logements à vocation sociale, les technologies s'installent, dans le sens du lien social.
Les débats autour des Trophées du Grand Age 2012 ont montré que les points de vue évoluaient. Les questions éthiques viennent interroger des technologies qui doivent rester complémentaires des relations humaines.
Les modèles économiques restent difficiles à trouver pour solvabiliser ces technologies, ces applications, ces programmes.
Qui paye quoi ? Après les recherches et tests, il faut bien financer le développement des produits.
Qui va financer les mises à jour, les suivis ?
L'utilisateur final, ses proches ? Les collectivités ? les mutuelles ? les assureurs ? Les annonceurs publicitaires ?
Qui va labelliser ces technologies, ces aides-techniques ? Qui va garantir la qualité des informations, des bases de données ?
La CNSA avait mis en ligne une base de référence. Elle est redéployée dans les Centre d'Expertise Nationaux (CEN).
Quant à la Caisse des Dépôts (CDC), elle a planché sur une solution "E Senior" pour la mise à jour des rubriques "senior" des sites Internet des collectivités. Agevillage, dont la CDC est l'actionnaire de référence, est un des acteurs du programme.
L'actualité des technologies, des gérontechnologie n'en est qu'à ses débuts.