Le mois dernier, 10 agents d’un Ehpad public du Nord étaient suspendus pour avoir capturé puis partagé sur des groupes de discussion privés des images dégradantes d'une résidente. Une sanction d’importance, particulièrement en ces temps de pénurie exacerbée de personnel. Et pour cause : l’acte des mis en cause enfreint à la fois au droit à l’image et au respect du secret professionnel, deux critères impératifs du référentiel HAS. Le point avec Vincent Vincentelli, responsable réglementation à l'Una.
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