Les données paradoxales du grand âge

Comment réagir devant les données paradoxales quand les crises s'enchainent ?

Une journée d'action s'organise ce 29 octobre devant le PLFSS jugé « famélique » du domicile à l'Ehpad.

Leur taux d'occupation relève de l'expérience de Schrödinger : en état de mort cérébrale (moins de 90 %) ou réactivé (+ 94 %) ? A 20 000 euros le point : vous imaginez l'impact sur les budgets !

Du côté des Cpias, on outille les professionnels avec pas moins de 83 fiches pratiques pour réduire le risque infectieux en Ehpad et les coûts qu'ils entraînent… Tant du côté de la santé des habitants que pour la qualité de vie des professionnels.

Les pouvoirs publics auraient intérêt à questionner les modes de financements au risque d'une prime à la grabatisation (avec les seuls outils Aggir et Pathos dont le rythme des coupes devrait s'accélérer). Ils auraient aussi intérêt à investir dans la lutte contre la dénutrition : 3 000 acteurs vont se mobiliser du 12 au 19 novembre.

Pour booster l'intergénération, la transmission, le Cnaag mobilise de son côté les animateurs des ESMS ces 26 et 27 novembre sur Poitiers.

On n'est plus à un paradoxe près entre le sentiment d'impuissance généralisé, épuisant, et ces labellisés Humanitude qui veulent malgré tout être fiers de leurs métiers, de leur prendre soin qui vise à aider à vivre, à vieillir debout, malgré tout, jusqu'au bout. Venez les découvrir lors de la soirée du colloque des Approches Non Médicamenteuses ce 13 novembre aux portes de Paris. La soirée est ouverte à tous, gratuite, à partir de 17 heures.

Pour nous ressourcer, nous serrer les coudes et prendre conscience des impensés, des paradoxes du secteur !